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Blog Caput Draconis

  • : Caput Draconis, ou chroniques d'une géomancienne
  • : Madame Irma, mais pas que! Chroniques au jour le jour du quotidien d'une géomancienne, il est question ici de voyance, ésotérisme, mais aussi de la vie au quotidien dans toute sa tendance fourre-tout...
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Caput Draconis

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 10:42

 

 

 

Une petite vidéo pour vous présenter La Fée Lure, le spectacle auquel j'ai participé en tant qu'assistante mise en scène lors de sa création en décembre 2013. Il continue sa vie, d'autres représentations ont eu lieu en avril et mai, et de nouvelles sont prévues dans les mois qui viennent. Un projet de financement participatif via la plateforme KissKissBankBank a été lancé (pour en savoir plus sur le spectacle et éventuellement contribuer au projet, cliquez ICI) et s'achève ce soir, afin que l'aventure se poursuive. Serez-vous tentés d'y participer ? Merci d'avance si c'est le cas, et belle découverte à tous !

 


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14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 18:13

 

 

 

Cahier-d-amour-Florence.JPG

 

J'ai toujours aimé écrire, et comme beaucoup de gens qui écrivent, j'adore la belle papeterie. Carnets de voyage, journaux intimes, carnets de note Moleskine et autres ont fait mes délices depuis des années. Comment aurais-je pu ne pas être séduite par les réalisations de Florence Bouxom ? Cette jeune femme réalise à la demande des couvertures de cahiers rigides, durables et surtout personnalisées -- avec créations de logos en relief, choix de texture et de couleurs variées -- avec du skivertex (type de papier enduit imitant le cuir). Quand le cahier contenu à l'intérieur est fini, on le retire et on en remet un nouveau, ces couvertures étant amovibles. Et notre cahier si personnel peut nous accompagner partout, pendant plusieurs années !

 

Voici en illustration de cet article le très joli carnet qu'elle a réalisé pour moi, et que mon amoureux m'a offert pour mon anniversaire. Croyez-le ou non, depuis que je l'ai, jamais je ne me suis sentie si inspirée ! Les idées s'expriment, fusent, le plaisir d'écrire a toujours été présent, mais il est ici décuplé, et je sais que tôt ou tard, de toutes ces notes il sortira de belles choses. J'ai toujours mon joli carnet dans mon sac, pour moi il est magique, d'autant plus que c'est l'homme que j'aime qui me l'a offert. Et je le garderai longtemps ! "Cahiers d'inspiration avec un coeur dedans", comment mieux les décrire ?

 

Pour découvrir le travail de Florence, vous pouvez visiter le blog des cahiers d'amour. Elle propose également des bijoux originaux sur le site www.jolisobjetsutiles.com.

 

Régalez-vous !

 

 

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 14:54

 

Affiche-theatre.jpg

 

Voyante géomancienne mais pas que... Ca fait un bout de temps que vous le savez, mon autre activité professionnelle et grande passion dans la vie c'est le théâtre et plus spécifiquement la mise en scène. C'est pourquoi, lorsque l'occasion me fut donnée en début d'année d'y revenir après plusieurs années où je m'en étais un peu éloignée, en animant un atelier avec une compagnie amateur de Vitré, le Théâtre de la Poursuite, avec pour finalité de mettre en scène un spectacle avec eux, j'ai foncé ! Et je ne le regrette pas, l'expérience est passionnante, j'apprécie beaucoup mes élèves/acteurs, leur talent tout d'abord, et ensuite leur curiosité et leur audace dans le désir de créer et de jouer, loin des sentiers battus et des clichés que l'on peut rencontrer parfois dans le théâtre dit "amateur". Nous avons travaillé ensemble toute l'année sur des textes de Karl Valentin et des extraits de la Pièce Le Fils, de Christian Rullier. Deux représentations de notre spectacle intitulé Le Grand Feu d'ArtiFils seront données pour présenter le résultat de notre travail, dimanche 30 mai à 17h et samedi 5 juin à 20h, à la Maison de Quartier de Maison Rouge à Vitré (Ille et Vilaine). Pour toute information sur la compagnie, je vous renvoie au site de l'association du Théâtre de la Poursuite ICI.

 

Si vous souhaitez réserver, vous pouvez contacter la compagnie à l'adresse mail theatredelapoursuite@orange.fr ou par téléphone au 06 03 00 84 44 . Entrée libre et participation au chapeau.

 

Au plaisir de vous voir nombreux !

 

 

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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 18:45


Je commencerai par celui que j'ai découvert le plus récemment -- et dont j'espère qu'il existe toujours, car tout bouge si vite en matière de cafés, restaurants et autres brasseries à Paris -- : Le Comptoir de Madame Tomate (photo ci-dessus), sis au 58 boulevard de Sébastopol, à l'angle de la rue aux Ours et en face du Dépôt, pour ceux qui connaissent (pour tous les détails, adresse et téléphone, voir le petit blog de la maison qui date de fin 2007, c'est ICI). Ouvert de tôt le matin à tard le soir, ce sympathique petit café-restaurant d'inspiration provençale proposait des apéros le jeudi soir et surtout un excellentissime buffet-brunch à partir de 11h le dimanche matin. Une déco marrante avec toutes les variations de la tomate sur les murs, une ambiance chaleureuse et surtout... une paix royale pour faire ce que l'on veut ! J'ai découvert l'endroit par hasard, un 1er mai, pour une consultation, mon lieu de consultation habituel, le Quincampe (dont je parlerai plus loin), étant fermé ce jour-là. Je suis restée deux heures avec ma consultante, dans ces fauteuils profonds que vous pouvez apercevoir sur la photo. Pas un seul moment, on ne nous a dérangées, ou fait comprendre qu'il serait bien que nous partions, notre gentil serveur a juste encaissé nos consommations (du bon thé de qualité, fait assez rare dans les cafés-brasseries parisiens pour être noté !), car il finissait son service. Résultat : nous sommes restées deux bonnes heures, et nous avons commandé d'autres choses (le chocolat est excellent, avis aux amateurs !). Le lendemain samedi, et finalement la totalité du week-end, je suis revenue avec une élève pour un stage de géomancie, et nous avons eu tout le loisir, tout en explorant les subtilités de ma bien-aimée science oraculaire, de goûter les sympathiques recettes du lieu. Du monde pendant ces trois jours, de la musique en fond mais qui ne m'a guère dérangée puisqu'elle était agréable, un très bon rapport qualité-prix pour tout ce qui est de la restauration, des fauteuils confortables et des heures d'ouverture très étendues : rien que du 10 sur 10 pour ce bel endroit sympathique dont je vous remets ci-dessous quelques photos. Ce qui m'inquiète, c'est qu'en le recherchant dans les Pages Jaunes au moment d'écrire cet article, je ne l'ai pas retrouvé dans la liste des établissements . Si vous passez par là, tenez-moi au courant !

Une autre image (cliquez sur la photo pour l'aggrandir) :


Mon autre lieu de consultation favori est situé dans le même quartier, il s'agit du Quincampe, situé au 78 rue Quincampoix (parallèle à la rue Saint Martin, donc, et très proche du centre Pompidou dans le quartier Beaubourg). C'est un salon de thé qui fait également restaurant en semaine et le samedi soir, et propose des brunchs le dimanche matin de novembre à avril environ. J'y ai donné de nombreuses consultations, car là encore la politique (fort intelligente) du lieu consiste à laisser s'installer les clients, qui du coup recommandent en général autre chose pour continuer à profiter de cet endroit chaleureux et de toutes les gourmandises que l'on y trouve.  Ici, l'inspiration est celle du Maghreb (alors que le Comptoir de Madame Tomate se proposait d'explorer la cuisine provençale), comme on peut le remarquer lors du brunch du dimanche (qu'il est préférable de réserver, parfois il y a foule !) mais aussi dans la carte habituelle du salon de thé, car à côté des thés, chocolats, cafés et pâtisseries classiques qui y sont proposés, on peut tester un très agréable thé à la menthe et des pâtisseries marocaines. Il y a deux salles, la première, à côté de la rue, est petite et intime, la seconde, ornée d'une cheminée, est plutôt destinée au restaurant et au brunch, elle est plus grande mais également très agréable. Sur demande, on peut également réserver la salle du Quincampe pour des séminaires ou fêtes (c'est annoncé au comptoir). Le seul inconvénient de ce très bel endroit : les horaires d'ouverture sont plus limités (12h-23h en semaine, 15h-23h le samedi, et fermeture le dimanche d'avril à novembre) et il faut donc en tenir compte. Mais depuis quelques années, ce joli salon de thé fait partie de mes lieux favoris pour consulter, ou simplement venir papoter entre ami(e)s !

Quelques photos ci-dessous (cliquez dessus pour les aggrandir) :







J'en profite pour vous signaler que je serai disponible pour une consultation à Paris le dimanche 23 août en début d'après-midi (une consultation a d'ores déjà été réservée le matin). Si vous souhaitez prendre rendez-vous, merci de me l'indiquer au plus tard jeudi 20 août avant 17h.

Et pour les Parisiens, bons moments de détente dans les sympathiques lieux décrits ci-dessus !


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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 17:48


 


Malheureusement, ce très beau spectacle dont je vais vous parler ici est terminé là où je l'ai vu (au TNB à Rennes), et j'ignore si il continuera à tourner ailleurs en France. Mais voilà, j'avais juste envie de partager avec vous le plaisir que j'ai eu à le voir...

Casimir et Caroline est donc l'une des pièces les plus connues de l'auteur autrichien d'origine hongroise Ödön Von Horvath (également auteur de Légendes de la forêt viennoise). Ecrit en 1930, au coeur de la grande crise sociale qui suivit le krach de 1929, il met en scène un jeune couple, Casimir et Caroline, venus à la fête de la bière à Munich. Casimir est chauffeur, Caroline employée dans un bureau. Casimir a été licencié la veille. C'est ce licenciement qui va détruire, peu à peu, le couple d'amoureux venu s'amuser comme tant d'autres à la fête foraine. Et pourtant, Caroline est enthousiaste et optimiste, Caroline est amoureuse et considère qu'une femme bien s'accroche d'autant plus à son homme que celui-ci est balloté par le sort. Mais Casimir n'y croit plus, lui. Les deux amants ne se comprennent plus et s'éloignent l'un de l'autre au fur et à mesure que la journée avance. Casimir se saoûle et se ruine, Caroline flirte avec des grands patrons et un vendeur rencontré au pied des montagnes russes, à côté et autour d'eux d'eux, des malfrats, des filles légères, des monstres de foire, des forains, des capitalistes en goguette, au dessus d'eux, un zeppelin dont la technologie ambitieuse et le "beau monde" qui vole à son bord fait rêver tout le petit peuple qui l'admire "d'en bas" sans imaginer voler un jour dans les airs à son tour... Au final, le couple et toute la société qui l'entoure sombreront corps et âme...

Emmanuel Demarcy-Mota, le tout nouveau et jeune directeur du Théâtre de la Ville, a eu beaucoup d'ambition pour cette pièce qu'il a remaniée en lui ajoutant des textes issus d'autres pièces de l'auteur. Il a choisi de privilégier un aspect choral, chacun des dix-neuf acteurs composant la distribution sont autant de facettes des personnages de Casimir et Caroline. A cela s'ajoute un décor à la fois simple et "casse-gueule" (des structures métalliques qu'escaladent avec brio les comédiens, mais j'avoue que cela m'a parfois fait peur pour eux, moi qui suis sujette au vertige...), évoquant la fête foraine dans tous ses états (montagnes russes, tavernes, attractions...). Ombres et lumières sur ce décor forment des images saisissantes (l'ouverture de la pièce est particulièrement impressionnante, l'ombre des dix-neuf comédiens juchés sur les structures métalliques du décor évoquant à la fois un champ de bataille et un camp de prisonniers !). A cela s'ajoute l'interprétation parfaite des comédiens, Sylvie Testud bien sûr, une Caroline à la fois frêle physiquement et forte moralement, mais aussi Hugues Quester et Sarah Karbasnikoff dont j'ai particulièrement apprécié la prestation... pour ne citer qu'eux !  On se laisse entraîner pendant une heure trente par le tourbillon de ce parfait choeur d'acteurs, et par la mécanique parfaite du très beau texte d'Horvath dont l'actualité nous saute à la figure, près de 80 ans après son écriture.

A recommander, donc, si ce beau spectacle s'offre une tournée de plus lors de la saison prochaine !

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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 16:10


Ca fait longtemps que je voulais vous parler de ce très beau livre de Goran Petrović (publié aux éditions du Rocher, et en Poche aux Editions Le Serpent à Plumes), mais comme on fait mieux comme critique littéraire que moi , petite présentation par l'éditeur d'abord (quatrième de couverture) :

Lire n'est pas une activité douillette et innocente. C'est aussi vivre, parfois dangereusement, comme le montrent les aventures extraordinaires des personnages de ce roman, lecteurs passionnés qui mènent une double vie, circulent entre leur réalité quotidienne et leurs lectures, se rencontrent dans ces deux dimensions.

Ainsi Adam, étudiant en lettres et correcteur intérimaire, se voit confier un travail singulier : remanier, pour le compte d'obscurs clients et pour des raisons qu'il lui faudra élucider, un vieux livre mystérieux. Se plongeant littéralement dans ce texte, il s'aperçoit vite qu'il n'est pas seul. D'autres lecteurs le hantent, parmi lesquels une vieille dame excentrique, un ancien agent d'une section très spéciale des services secrets, une jeune fille au parfum câlin...

L'histoire surprenante que tisse ce roman est un éloge ludique des grands espaces de la lecture sans lesquels certains de nous ne sauraient respirer.

Goran Petrović est un auteur serbe né en 1961. Il est bibliothécaire et publie nouvelles et romans depuis 1989. Soixante-neuf tiroirs (dont le titre serbe pourrait se traduire littéralement La boutique "A la main heureuse") a été publié en 2000 et remporté l'un des plus prestigieux prix littéraires du pays, le Prix NIN. Ce roman est le premier qui a été traduit en français, depuis un second a été publié dans notre langue, Le siège de l'Eglise Saint -Sauveur.

Ce qui m'a rendue amoureuse de son roman, c'est qu'il raconte, littéralement, ce que vit tout lecteur qui se "plonge" dans un livre. J'ai eu l'impression, en le lisant, d'accompagner ses personnages dans l'univers incroyable du livre où ils ont choisi de se perdre... pour mieux se rencontrer. J'étais vraiment dans cette maison, ce jardin qu'il décrit, et plus loin encore. Ce livre m'a fait rêver comme peu l'ont fait jusqu'ici, car j'y ai retrouvé tout ce que je vis quand je lis avec passion, quand je me retrouve totalement dans l'univers d'un roman et d'un auteur. On y trouve une vraie dimension fantastique tout autant que poétique, car ici c'est l'imagination qui fait tout, et qui recrée un réel plus vrai que notre réalité. Le style est fluide, précis, en quelques mots l'auteur nous campe un lieu, une situation, un personnage. Du grand art, et un auteur à lire, absolument !

Je vous souhaite une excellente lecture.

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14 avril 2009 2 14 /04 /avril /2009 16:27


Connaissez-vous Rosalie ? Si vous cliquez sur mes p'tits liens préférés indiqués sur le côté gauche de ce blog, certainement ! Pour les autres, on va dire qu'il n'est que temps de la découvrir sans plus attendre ;-)

Je l'ai connue un peu par hasard, dans un grand cabinet de voyance où j'ai un temps fait un peu de "visio-voyance". Tout autant que son grand talent de médium, sa gentillesse, l'intelligence de sa démarche avec les consultants, son sérieux et sa grande culture m'ont tout de suite séduite. Nous avons depuis l'une et l'autre quitté ce cabinet, mais nous avons gardé contact et je suis heureuse de la compter au nombre de mes amis.    

Il y a environ un an, Rosalie a créé son blog, qu'elle présente ainsi elle-même : " Espace ouvert où plein de sujets sont abordés : mes billets d'humeur, ou d'humour sur l'actualité, les faits de société, la musique, la télévision, le cinéma, mes coups de coeur, mes centres d'intérêts et découvertes que je souhaite partager. "

167 articles depuis la création du blog Chez Rosalie, j'en retiens beaucoup d'humour, de musique, un regard à la fois tendre et sans concessions sur nos contemporains, des poèmes personnels, des expériences vécues qui nous touchent car Rosalie nous ressemble et donc nous rassemble.

Chaque matin, ou presque, je trouve dans mon mail une petite note qui m'informe qu'un nouvel article a été publié sur ce blog et toujours il y a une découverte, une émotion ou un sourire. Rosalie et tous ses états sont devenus un de mes petits plaisirs quotidiens, que j'avais très envie de partager avec vous.

Alors, c'est ici :
http://chez-rosalie.over-blog.com/

Bonne lecture, et merci encore à Rosalie pour ses textes d'une belle intelligence et humanité !

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17 octobre 2006 2 17 /10 /octobre /2006 18:19

Si vous vivez à Paris, il vous reste un peu moins d’une semaine pour découvrir ce très beau spectacle mis en scène par Julie Brochen, d'après l'opérette de Jacques Offenbach et le livret de Meilhac et Halévy, mélange de théâtre et d’opérette, porté par le groupe des 18 acteurs-chanteurs de l'équipe. Julie Brochen a réussi son pari, celui de raconter « la figure d’une femme libre, une femme qui, au XVIIIe siècle au Pérou, a décidé pour et par amour de son père, d’exister à travers le théâtre, la musique et la danse ».  Son spectacle est drôle, émouvant, et malgré sa durée de 2h10, passe comme un éclair devant nos yeux émerveillés.

 

« Histoire vraie de la Périchole » se joue au théâtre de l’Aquarium  (http://www.theatredelaquarium.com/) jusqu’au 22 octobre, puis aux Gémeaux à Sceaux les 10, 11 et 12 novembre, avant un séjour à Lyon au Théâtre des Célestins où le spectacle sera présenté du 13 au 31 décembre.

 Allez-y, vous ne le regretterez pas !

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